Tradition oblige, il a beaucoup été question de galette, de reine et de roi durant le mois de janvier. Les enfants ont (re)découvert avec plaisir les incontournables albums à ce sujet.
Les moyens comme les grands ont fabriqué des galettes en pâte à modeler.
Ils ont découvert la technique de l’impression : on recouvre une pochette plastique de gouache, puis on trace un quadrillage avec une spatule fine et enfin on pose une feuille à l’envers par dessus. On appuie avec la paume de la main puis on soulève la feuille en attrapant doucement un coin. Oh, c’est magique !!
Une autre technique consiste à recouvrir généreusement un cercle jaune de gouache orange, puis de tracer un quadrillage avec une fourchette en plastique pour faire apparaître les stries jaunes. Et voici encore une galette !
Qui dit couronne, dit zigzags. Alors les moyens se sont d’abord entraînés à construire des lignes brisées avec des bûchettes en bois de 2 couleurs avant d’en tracer aux feutres.
Les grands se sont familiarisés avec le tracé des tuiles et des ponts en « sautant » par dessus ou en dessous les trous d’une feuille de papier listing !
Afin d’être parés pour la dégustation du gâteau du mois (cf article « Atelier-cuisine de janvier »), les enfants ont peint un napperon en papier avec des encres colorées pour fabriquer leur couronne royale.
Le bonhomme du mois de janvier a consisté à dessiner un visage de roi ou de reine en suivant la description donnée par la maîtresse (« Voyage sur mon visage » extrait de « Les arts plastiques à la maternelle » aux Editions RETZ). Le portrait a été collé dans un cadre fait de morceaux de couronne dorée et de gommettes collés en algorithme.
Comme le jeu fait aussi partie des apprentissages, le jeu de « La course à la galette » a eu beaucoup de succès auprès des enfants. Les moyens ont joué avec les boîtes à compter pour apprendre à dénombrer une collection et mettre la quantité équivalente de jetons.
Un nouveau jeu de construction permet de construire des objets en volume, alors que le jeu des arc-en-ciel consolide l’association des 2 graphies (majuscules et scriptes).